Pour un son codé
sous forme numérique :
• La dynamique (plage des amplitudes reproduites) et la
bande-passante (plage des fréquences reproduites) sont
très bonnes.
• Le signal étant codé sous forme de nombres, les
parasites ou bruits de fond électriques ou mécaniques
n’ont plus d’influence sur la qualité de la
reproduction.
• La copie, le traitement et la mémorisation du signal
n’entraînent pas de perte de qualité. On peut faire des
copies numériques autant de fois que l’on veut sans
dégradation !
• De plus, en cas d’erreurs de lecture (dues aux
défectuosités du support, aux saletés, aux rayures,
empreintes de doigts, aux fluctuations mécaniques, au
pleurage, ...), des circuits de détection et de
correction d’erreurs entrent automatiquement en service.
Lorsque on veut écouter le son
codé numériquement une conversion du numérique vers
l’analogique est nécessaire. Au final la chaine des
opérations est la suivante :

Le son numérique nécessite une double conversion.
Les étapes de capture et de restitution des
phénomènes sonores sont et resteront toujours
analogiques (le son est un phénomène analogique par
essence).
On ne pourra sans doute jamais se passer de microphones,
d’enceintes et de casques et de nos oreilles.
L'avenir du son numérique s'avère prometteur,
mais il reste encore à convaincre les inconditionnels du
son en direct... |