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    Conclusion

Pour un son codé sous forme numérique :

• La dynamique (plage des amplitudes reproduites) et la bande-passante (plage des fréquences reproduites) sont très bonnes.

• Le signal étant codé sous forme de nombres, les parasites ou bruits de fond électriques ou mécaniques n’ont plus d’influence sur la qualité de la reproduction.

• La copie, le traitement et la mémorisation du signal n’entraînent pas de perte de qualité. On peut faire des copies numériques autant de fois que l’on veut sans dégradation !

• De plus, en cas d’erreurs de lecture (dues aux défectuosités du support, aux saletés, aux rayures, empreintes de doigts, aux fluctuations mécaniques, au pleurage, ...), des circuits de détection et de correction d’erreurs entrent automatiquement en service.

 

Lorsque on veut écouter le son codé numériquement une conversion du numérique vers l’analogique est nécessaire. Au final la chaine des opérations est la suivante :

Le son numérique nécessite une double conversion. Les étapes de capture et de restitution des phénomènes sonores sont et resteront toujours analogiques (le son est un phénomène analogique par essence).

On ne pourra sans doute jamais se passer de microphones, d’enceintes et de casques et de nos oreilles. L'avenir du son numérique s'avère prometteur, mais il reste encore à convaincre les inconditionnels du son en direct...

 

© 2005-2006