nav_left.jpg (14891 bytes)

   » Accueil
   » Groupe
  » Le son
  » L'information Analogique
  » L'information Numérique
  » La capture du son
   ± Théorie
   ± Pratique
  » L'adaptation du signal
   ± Théorie
   ± Pratique
  » La numérisation
   ± Théorie
   ± Pratique
   ± Comparaison des techniques
  » Avantages du numérique
  » Montage expérimental
  » Conclusion
    La Numérisation : Comparaison des différentes types de conversion
- La durée de la conversion

La réponse du C.A.N. flash est pratiquement instantanée si l'on néglige le temps de réponse des portes logiques. La durée de la conversion est indépendante de la tension à convertir. En revanche, dans le cas du C.A.N. à rampe numérique, il faut attendre que toutes les tensions inférieures à la tension à convertir soient générées par le C.N.A. : il en résulte une durée de conversion plus longue, et qui dépend en outre de la valeur de la tension à convertir. Le C.A.N. à approximations successives constitue une solution intermédiaire : la conversion est plus rapide qu'avec un C.A.N. à rampe numérique (sans être instantanée) et la durée de la conversion ne dépend pas de la tension à convertir.

- Le nombre de composants

Le C.A.N. flash nécessite un amplificateur opérationnel par potentiel auquel la tension à convertir est comparée : le nombre augmente considérablement si l'on souhaite une conversion assez fine. En outre, l'étage de codage devient également bien plus complexe et nécessite de nombreuses portes logiques. Le nombre de composants d'un C.A.N. à rampe numérique ou d'un C.A.N. à approximations successives ne dépend (au nombre de résistances du C.N.A. qu'il contient près) pas du pas de la conversion. Ce sont donc des dispositifs moins onéreux et moins encombrants qu'un C.A.N. flash à précision égale.

 

© 2005-2006